Titulaire d’une licence professionnelle en géomatique et un master Tourisme et Patrimoine, j’ai travaillé sur les TIC et la valorisation du patrimoine culturel.
Thématique de ma recherche c’est les humanités numériques et sur l’axe de l’Histoire, patrimoine et humanités numériques. L’idée de mon projet c’est d’exploiter les outils numériques au service de l’histoire par la modélisation des données historiques.
Je m’appelle Diane Véron, il ne faut sans doute pas le dire mais je suis une normande en Bretagne. Avant d’intégrer le master EHST de Brest, je me suis épanouie au sein d’un double cursus en Droit et Histoire de l’Art dans l’antenne UBO de Quimper. Là-bas j’y ai forgé une appétence pour l’antique ; additionnée à un goût déjà présent pour les objets et particulièrement ceux faits de métal, mon choix de sujet de TER s’est naturellement porté vers la contraction de ces pôles d’intérêt. Après discussions avec ma directrice de Mémoire, Delphine Acolat (MCF en Histoire romaine et Histoire de l’art antique), mon projet de recherche s’est affiné pour se circonscrire autour de l’objet archéologique antique appartenant au corpus des cités du Vésuve, plus particulièrement autour des coffre(t)s(-forts).
Cet objet quelque peu oublié au bénéfice de ce que l’on croit y avoir été enfermé est selon mes propres observations peu représenté dans les collections publiques -pour le moins. Mon travail de recherche, sans être exhaustif, se voudra être une approche globale abordant les aspects de fabrications et conception de l’objet, de destinations et d’usages, de décorations, de symboliques mais également d’intérêt pour l’époque contemporaine.
à bientôt
Elève issue d’études de biologie et géologie, mes deux licences m’ont conduite en M1 Histoire des Sciences et des Techniques pour apporter un vent de fraîcheur dans mon cursus scolaire. Le cas échéant est l’histoire qui n’est plus présente dans mon parcours universitaire depuis le lycée.
Pour cette année, un travail doit être réalisé, le TER. Avec un parcours en sciences, plus spécifiquement en écologie, les dissections étaient plus que fréquentes. Se pose alors une question avec ces travaux pratiques : l’éthique. Et pour joindre cette conviction pour l’éthique animale à une passion qui me suit depuis toujours, l’astronomie, j’ai décidé de lier ces deux sujets et de travailler sur l’éthique animale ou la condition de l’animal au sein des expériences dans le domaine de l’aérospatial.
Le sujet s’orienterait sur l’attrait de l’homme pour l’espace et l’univers, sur les découvertes et sur les avancées qui ont permis, un jour, d’aller au-delà de l’atmosphère. Mais aussi, sur les enjeux politiques, économiques et sociologiques et surtout, sur les expériences qui ont permis de préparer l’Homme a un tel voyage, par les essais réalisés avec des animaux, dont la représentante française dans ce domaine est la chatte Félicette, premier chat envoyé dans l’espace a en être revenue vivante !
Je viens d’une licence d’Histoire de l’art et d’archéologie, et je m’intéresse beaucoup aux techniques, aux gestes et à l’artisanat. La reconstitution d’objets historiques connus par l’archéologie, les textes ou l’iconographie permet de mieux comprendre leur utilisation et les gestes qui y sont liés, pour faire avancer la recherche mais aussi impliquer différemment le grand public dans la compréhension de l’Histoire.
La reconstitution historique est un outil de médiation qui s’est grandement développé ces dernières décennies, avec l’archéologie expérimentale, qui est plutôt un outil de recherche. Je souhaite donc m’intéresser à l’Antiquité et plus particulièrement à la période de l’Empire romain. Plusieurs enjeux sont à mettre en exergue concernant la reconstitution d’objets historique, principalement la nécessité d’une rigueur au niveau des sources et un dialogue avec les chercheurs, ici concernant un objet ou un corpus d’objets créés et/ou utilisés à l’époque romaine, afin d’émettre des hypothèses sur leur aspect et leur utilisation au plus près de la réalité historique.
Annabelle Gourhand
Venant d’une licence de biologie géologie, j’ai choisi cette deuxième discipline pour y placer mon TER. Il portera sur l’histoire de la géologie sur la Presqu’île de Crozon aux 19e et 20e siècles.
La presqu’île ayant aujourd’hui une renommée importante pour son importance scientifique, j’ai souhaité m’intéresser à comment la prise de conscience de son intérêt pour la géologie s’est fait. Les sources principales seront des cartes géologiques réalisées à cette époque, les carnets et les bulletins de la société géologique de Bretagne. En termes d’acteurs, ce TER tentera de se pencher sur les amateurs comme sur les professionnels de la discipline, les ingénieurs des mines par exemple.
Quelques sources :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96910143/f15.item
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02904343/document
Je m’appelle Astrid, je viens d’une licence de Biologie des Organismes. J’ai ensuite effectué un première année de master MEEF 1er degré.
Mon sujet de TER consisterait à noter les différents acteurs ayant participé au tourisme lié à la recherche entre 1850 et 1980, leurs pratiques, et l’organisation de ce type de tourisme. J’aimerais limiter mes recherches au littoral du Morbihan.
Je me présente, Jegat Titouan, ancien étudiant de Licence d’Histoire et actuellement en Master 1 EHST à l’UBO. Je souhaite travailler sur la médiation numérique du patrimoine sous-marin en me focalisant sur l’épave de l’Amoco Cadiz. Etant un grand de fan de plongée et de technologie, il m’a semblé intéressant de mélanger les deux dans ce travail de recherche.
Mon TER sera centré sur une grosse recherche d’information au sein des organismes tels qu’IFREMER, le CEDRE ou l’IUEM. Je vais également m’appuyer sur les activités de médiation qui ont déjà été réalisées.
